Cette année, les éco-délégués ont eu la volonté de mettre en place des actions de sensibilisation aux problématiques suivantes : harcèlement, discrimination et solidarité. Ainsi, ils se sont mobilisés contre les violences sexistes et sexuelles.
Les étudiants ont alors imaginé l’organisation d’une journée de sensibilisation. Le projet s’est très vite concrétisé avec l’intervention de l’association Resonantes.
Deux temps forts étaient animés par celle ci le 28 janvier.
En premier lieu, les étudiants ont découvert l’extrait de l’exposition « Fais pas genre ». Elle a pour but de sensibiliser de manière originale et ludique. Sur ce même temps, les intervenants en ont profité pour présenter l’application App-elles de Resonantes. Cette dernière a pour objectif d’alerter des proches, créer des preuves, ou encore contacter des services de secours dès lors qu’une personne se sentirait susceptible d’être victime d’une violence sexiste ou sexuelle.
Ensuite, étudiants, personnel administratif et pédagogique ont été formés avec la formation Stand Up. À travers celle ci, les étudiants sont formés à savoir comment réagir en cas de situation de harcèlement de rue.
De plus, à l’occasion de la préparation de cette journée, cet outil particulier et original a été distribué : le violentomètre.
Diffusé par le Centre Hubertine Auclert, il permet de mesurer si une relation amoureuse est basée sur le consentement ou pas.
De ce fait, il est possible d’en trouver à chaque coin de l’école. Lors de la journée de sensibilisation, il était également possible d’en retrouver un sous la forme d’un oriflamme.
En bref, cette journée a été une réussite pour les éco-délégués qui espèrent avoir touché un large public.